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Souper mortel aux étuves

Michèle Barrière

Souper mortel aux étuves

« Paris, 6 janvier 1393. Messire Jehan est retrouvé la gorge tranchée dans des étuves mal famées de la rue Tirechappe. Constance n’a alors qu’une seule idée : venger son mari. Elle se fait embaucher comme cuisinière par Isabelle la Maquerelle – la patronne des étuves. Elle doit affronter l’irascible Guillaume, – cuisinier à la cour du roi -, qui arrondit ses fins de mois aux étuves. Leurs joutes culinaires deviennent vite l’attraction majeure du quartier de la Grande Boucherie. Dans les rues bruyantes de la capitale, Constance découvre les étals des bouchers, des maraîchers ou des rôtisseurs, apprend à distinguer les poissonniers de mer et d’eau douce. Elle croise colporteurs et marchands d’oublies, goûte une tourte d’épinoches, achète les petits pâtés à la moelle d’Enguerrand le Gros, se régale d’une gaufre ou d’une dariole. A la cour de Charles VI, après le tragique épisode du Bal des Ardents, elle rencontre le célèbre cuisinier Taillevent, auteur du Viandier, – le premier best-seller gastronomique. Malgré les embûches, Constance mène l’enquête et utilise ses talents culinaires pour obtenir des informations. C’est à Bruges, sur la piste des assassins de son mari, qu’elle rencontrera l’amour ! Mais pourra-t-elle échapper au piège mortel qui lui est tendu et confondre ses ennemis ? Souper mortel aux étuves plonge le lecteur au cœur du Paris du Moyen Age.« 

Le livre a trainé 2 mois sur ma table de chevet. Je l’avais démarré mais je n’arrivais pas à le continuer.
Sur un coup de blues, je l’ai repris et poussé ma lecture au-delà d’où je m’étais arrêtée.
Et c’est d’une seule traite que je l’ai lu.

D’abord dans le désespoir, Clémence échafaude son plan pour venger son mari. Son plan va la mener dans un combat culinaire et sans merci.
C’est avec passion que j’ai suivi ce combat, le livre comportant la plupart des recettes citées, ou comment les cuisiniers vont utiliser les ingrédients à l’improviste.

Un cours culinaire qui ne manque pas d’épices !
A lire absolument pour les passionnés de romans policiers tout comme d’art culinaire.

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