Tourte aux pommes, frangipane et épices

Tourte_PommeFrangipane_0004

Pour notre réveillon, avec une envie de « galette des rois » et ma flemme de faire une crème pâtissière, finalement, j’ai juste ajouté une cuiller à café d’épices pour pain d’épices à la frangipane.

 Tourte_PommeFrangipane_0001

La pâte feuilletée a été placée (tant bien que mal…) dans des ramequins pour crèmes brûlées, puis j’ai mis les morceaux de pomme avant d’y mélanger la frangipane.
Pas évident vu la petite taille du système, mais je ne voulais pas en mettre de trop.
Il vaut mieux quand même de mélanger la pomme et la frangipane avant de verser sur la pâte.

Tourte_PommeFrangipane_0002

Puis j’ai recouvert la tarte avec un disque et soudé (tant bien que mal aussi) pour finir par faire des quadrillages et dorer le dessus avec du jaune d’œuf.

Après, je ne sais plus combien de temps les tourtes sont restées au four… Celui-ci étant toujours branli-branlant et chauffant anormalement. L’épaisseur des ramequins aussi empêche la bonne cuisson du fond.

Enfin, le résultat est beau tout de même.

Tourte_PommeFrangipane_0003

Tourte_PommeFrangipane_0004

Peut être un peu trop garnie mais cela ne nous a pas empêcher de nous régaler !

Tourte_PommeFrangipane_0005

Une tarte aux pommes

Tarte_Pommes_0001

Des pommes… j’en avais encore pas mal avec mon panier de l’Amapp.
Je voulais faire un fond de tarte qui soit autre chose qu’une compote, surtout que je n’étais pas sure d’avoir assez de pommes.
Alors, j’ai sorti la recette de la galette des rois, avec de la crème pâtissière au Calvados, une frangipane, des pommes coupées en morceaux, une pâte feuilletée et une surveillance rapprochée de la cuisson (mon four étant un peu déglingué…), et nous voilà à nous enfourner ce dessert en 2 temps et 3 mouvements, à tomber par terre !

Tarte_Pommes_0002

Tarte_Pommes_0003

2 fois 146 g

La chance !!

Cette année, nous avons pu, à 1 semaine d’intervalle, récolter sur chaque groseilliers environ 146 g chacun de fruits.

Groseilles_cueillette

 

Les premières ont été simplement dégustées avec un fond de glace pamplemousse-orange, les suivantes avec de la crème liquide sucrée et un peu fouettée.

 

Vivement 2016 pour espérer faire un dessert conséquent !

Salade de chou kal, penne semi-complètes et mandarines

Assez mangé de chou chinois aux lardons !

Il fait beau, il fait même très chaud, une salade ce serait sympa.

J’avais trouvé une recette de salade de chou kal à l’orange.
Pas d’orange, ce n’est plus franchement la saison, mais j’ai des mandarines (pas plus la saison non plus d’ailleurs…). On est jeudi, jour où il faut dîner un peu plus consistant pour la séance d’entraînement plongée.

Après avoir taillé, rincé et sauté le chou dans un petit peu d’huile de sésame, cuit « fondant » environ 80 g de penne semi-complètes puis débité 6 mandarines, voilà le résultat !

Salade_kal_0002

 

J’attends le verdict… et à voir si nous mettons un peu de vinaigrette maison, composée d’aromatiques du jardin (aneth, basilic, coriandre, ciboulette).

 

Bon appétit !

Petits gâteaux à la noix de coco

gateaux_noix_coco

 

Ingrédients :

  • 1 œuf entier + 1 jaune d’œuf
  • 75 g de sucre
  • 100 g de noix de coco râpée
  •  1 cuiller à café de vanille liquide
  • ou bien : 70 g de sucre et 1 sachet de sucre vanillé

 

Recette :

  1. Mélanger le sucre et l’œuf.
  2. Ajouter la noix de coco et la vanille. Bien mélanger de façon à ce que la noix de coco absorbe l’œuf et le sucre.
  3. Laisser reposer ½ h à 1 h au frais (éventuellement, remuer à nouveau un peu).
  4. Préchauffer le four à 150 °C.
  5. Beurrer la plaque du four ou la recouvrir d’une feuille de papier cuisson.
  6. Façonner des petites galettes, soit en pressant bien dans les mains, soit à l’aide de 2 cuillers.
  7. Mettre dans le four une quinzaine de minutes.
  8. Faire refroidir les gâteaux sur une grille puis les conserver dans une boîte métallique.

A consommer tout de même rapidement, ces gâteaux sont bien meilleurs frais (ils ont tendance à durcir dans le temps).

 

Gratin de pommes et fromage frais ciboulette-cannelle, façon crumble

Dans l’un de mes livres de cuisine, j’étais tombée sur une recette de pomme farcie au four.
N’ayant pas envie de viande pour un soir, la crémière m’a recommandée un fromage frais de chèvre.

Mais voilà…
Peur de creuser les 4 énormes pommes, au risque d’y aller « un peu fort » et du coup de les gâcher.

Alors, je nous ai concocté un petit plat, qui allie fromage et dessert.

pommes et fromage frais-ciboulette-cannelle, façon crumble

Pour cela, il m’a fallu :

– 4 grosses pommes, épluchées et détaillées en petits morceaux,
– 1 fromage de chèvre frais,
– 2 cc de ciboulette,
– 2 cc de cannelle.

Dans un saladier, j’ai mélangé le fromage, la ciboulette et la cannelle, puis les morceaux de pommes.
Le tout, dans un plat à gratin, au four à 170 °C jusqu’à ce que ce soit un peu doré.

Excellent pour finir en légèreté un repas !

Mon mari trouvait qu’il manquait « quelque chose » : du sel, du poivre… mais j’ai bien aimé comme ça, l’acidité des pommes était ressorti, le fromage n’a pas tué le goût.

A tester une prochaine fois avec un fromage de brebis frais !

Réduire nos déchets : 1 an plus tard

Il y a un an, je menais une grande réflexion sur la réduction de nos déchets (voir les articles reportés sur ce blog fin janvier 2015).

Aujourd’hui, je vous propose de faire un bilan par rapport à la liste que j’avais faite à l’époque.

 

Ce qui a été mis en place et qui fonctionne :

Poussières, poils d’animaux : l’aspirateur (sans sac…) est vidé au compost. Étant en période hivernale, il n’est pas retourné et je ne sais pas encore ce que ça donne.

Litière des chats compostable : c’est une litière composée de poussières de bois à la résine de pin, je crois, se transformant en poussières lorsque le chat urine. Elle est vidée dans le compost, mais rarement car les chats vont finalement dehors. La litière c’est juste une « sécurité » au cas où le Matou ne veuille pas sortir…

Mutualisation du gros matériel de bureau, jardinage : nous le faisons principalement avec l’un de mes beaux-frères, déjà depuis un moment, et n’hésitons plus à demander autours de nous pour le prêt de matériels particuliers pour les travaux.

Troc ou médiathèque pour livres, CD, DVD : nous sommes tous les 2, mon mari et moi, inscrits dans une bibliothèque différente. La liste des livres à donner est transmise à la bibliothèque qui choisit ce qui l’intéresse. Le reste est donné à l’entourage ou à Emmaüs.

Tri des sacs en plastique : fait régulièrement. Selon le format, ils sont soit mis de côté pour ramasser les « mines » du Toutou, soit donnés à Emmaüs qui en demande, soit conservés mais en très petite quantité. Les plus abîmés sont mis à la déchetterie.

Annuler/refuser les courriers publicitaires : pas toujours facile, mais ils sont très souvent renvoyés à l’expéditeur avec la mention « je ne souhaite pas recevoir de publicité ».

Acquérir un « stop pub » : le « stop pub » a été apposé sur la boîte aux lettres et respecté. Celui choisi (voir ici), nous permet néanmoins de recevoir les nouvelles locales.

Rendre annuaire téléphonique : nous n’en recevons plus. Les annuaires conservés depuis… 8 ans ? me servent de repose-pieds au bureau !

Utiliser jusqu’au bout ce que j’ai en plastique puis remplacer par du verre, du bois ou du tissus :
** les boîtes plastiques les plus abîmées ont été mises à la déchetteries, d’autres données à l’atelier d’aiguilles pour des petits rangements. Petit à petit, je remplace le stockage de l’épicerie sèche par des bocaux qui me permettent également d’adapter très facilement la taille du contenant par rapport à la quantité du contenu ;
** le pain frais est conservé dans un sac en lin que j’ai fabriqué.

Boîtes à chaussures : non customisées, mais selon les tailles, elles servent bien pour faire des petits rangements.

Limiter les emballages chez les commerçants : le sac plastique (donné systématiquement par le commerçant !!!) est refusé, ayant toujours un sac dans la voiture a minima. Sinon, je fais mes courses avec des sacs.

Remplacer les produits hygiéniques jetables par du lavable :
** « papier » ménager : il n’y en a plus, sauf le reste d’1 rouleau dans la caisse de camping. Si besoin, nous utilisons le carré éponge de ménage, du tissus… Pas sure que je fasse de tels carrés, mais a minima du recyclage de maillots en jersey, comme pour les mouchoirs.
** mouchoirs : 1 maillot de corps et 1 T-shirt ont été coupés en carrés (ou rectangles) et ont pris place dans la boîte des mouchoirs en papier. Cela fonctionne bien pour nous, mais certains invités sont plutôt réticents à cette « offre »… Il me reste tout de même à consolider la boîte…

Fabriquer des poches pour pique-nique en remplacement du papier alu et des sacs plastiques : les poches ne sont toujours pas faites, mais les sandwichs sont emballés dans des petites serviettes, les fruits fragiles dans des boîtes soit en plastique (tant que j’en ai encore) soit en métal selon la quantité.
Par ailleurs, j’ai fait l’acquisition d’une gourde pour transporter ma boisson (très utile : en sortant de piscine, je bois facilement le 1/2 litre !).

Récupérer tout ce qui est en tissus pour la couture ou chiffons : bon, ça dépend de la matière du tissus, s’il m’intéresse effectivement et de son état !

Réparer les vêtements abîmés : autant que je peux le faire, je répare. Dans certaines situations, comme une réparation trop complexe, le vêtement est mis au rebut.

Acheter du savon d’Alep : très bien, mais pas l’habitude de ce type de savonnette. Je le garde pour le corps mais pas pour les cheveux (pas concluant). Bon, en faisant quelques rangements, j’ai découvert une quantité industrielle de savonnettes ! Je ne suis pas prête à racheter du savon avant longtemps !!

Papier WC : au supermarché, j’ai trouvé du papier recyclé et bio, à défaut de vouloir s’en passer. Le papier est d’assez bonne qualité et le rouleau dure beaucoup plus longtemps qu’un standard. La différence de prix n’est pas comparable car les rouleaux n’ont pas la même longueur, mais je pense être tout de même gagnante !

Trouver les marchés bio réguliers / S’inscrire à l’AMAPP pour les paniers légumes : c’est fait ! Toutes les semaines, je vais chercher mon panier de légumes et suis assez satisfaite du contenu. De plus, ayant une panne de machine à pain, j’ai souscrits à un contrat pain.
Toutes les 2 semaines environ, je vais au marché à une bonne trentaine de km de chez moi afin d’avoir un panel plus large de commerces (j’en profite pour faire des courses au magasin bio et au supermarché).

Cuisiner des biscuits plutôt que d’acheter : je n’achète plus de biscuits, mais effectivement, quand besoin, je les fais moi-même (petits gâteaux à la noix de coco, biscuits au sarrasin, madeleines principalement). Comme nous ne sommes pas de gros consommateurs, ça va, j’arrive largement à fournir !

 

C’est en place, mais reste à améliorer :

Pelures d’agrumes (pot-pourri, mettre au feu, écorces confites…) : elles sont mises au feu lorsque la cheminée est en route. Mais je ne fais pas encore de pot-pourri ni d’écorces confites.

Remplacer sacs poubelles par sac biodégradables : je n’en trouve pas toujours… Pour les poubelles 20 l, de temps en temps, mais pas encore pour les conteneurs des éboueurs.

Utiliser jusqu’au bout ce que j’ai en plastique puis remplacer par du verre, du bois ou du tissus : dans mes projets de couture il y a toujours les sacs pour les pommes de terre et carottes, notamment, à faire.

Limiter les emballages chez les commerçants : cela vient doucement, mais sûrement… Je ramène autant que je peux les sacs papiers (voire plastique si je les retrouve). Chez le crémier, je n’ai aucune difficulté pour les papiers de sur-emballage. J’ai constaté également que la crème fraîche se garde très-très bien dans un pot de conservation (celui avec le caoutchouc au couvercle).
Mais, il y a encore à faire, je n’ose pas franchir le pas d’arriver avec des tissus ou bocaux pour les aliments comme viande, poisson, fromages…

Prendre des aliments en vrac : autant que je peux. Au magasin bio, peu d’aliments secs sont en vrac par rapport à mes besoins. Néanmoins, les pâtes, boulgour, quinoa, poudres d’amande et de noix coco, mes principaux achats, sont achetés en vrac.
Il n’y a pas, dans mon secteur géographique et à ma connaissance, de magasin qui vend en vrac (peut être plus loin…) => faire une recherche

Shampooing et après-shampoing en gros contenants : le shampooing que j’utilise à présent dure très-très longtemps (à l’argile) et du coup, je ne consomme plus d’après-shampooing.

Papier cuisson : mon stock arrive au bout, je réutilise les feuilles coupées tant qu’elles sont « propres », mais entre temps, j’ai investi tout de même dans un « papier » en silicone. Une de mes amies a du papier écologique mais ses gâteaux restent collés…

Remplacer les produits hygiéniques jetables par du lavable :
** serviettes hygiéniques : j’ai le tuto et les tissus, mais toujours pas franchi le pas d’en fabriquer ! En attendant, j’achète des serviettes hygiéniques bio et compostables.
** disques à démaquiller : ceux que j’ai fabriqué ne sont pas concluants. Du coup, je les achète bio, équitables et biodégradables.
** lingette : je n’en achète plus, du moins pour ma nièce ; si besoin, elle utilise un gant. Il me reste néanmoins quelques lingettes intimes que je garde pour les voyages, en attendant de vider le stock. Reste néanmoins à définir la nécessité absolue d’avoir ce type de lingette et comment m’en fabriquer.

Privilégier les cadeaux immatériels ou faits maison : une réflexion est en cours pour le prochain Noël. En effet, cette année encore, outre le fait de recevoir des cadeaux en triple, inutiles, que nous n’aimons pas, il nous a été particulièrement difficile de trouver quelque chose pour chaque personne de la famille et des proches, tout en conservant un budget de plus en plus serré du fait de l’augmentation incessante du coût des biens.

Utiliser des huiles pour hydrater le corps : j’ai oublié… du coup, beaucoup de lait corporel encore à consommer… Cependant, un échantillon d’huile d’Argan m’a été donné que j’utilise pour le démaquillage.

Produits de beauté à revoir (contenants et contenus) : Petit à petit j’arrive à évacuer les produits dits « industriels » pour venir à des produits meilleurs également pour ma santé.
Sauf que j’ai reçu pour mon anniversaire 2 sets de produits pour le corps et un lait corporel… J’en ai encore facilement pour 2 années de produits à consommer…
Quant aux contenants, il est très difficile d’en trouver dans une autre matière que le plastique.

Pour graisser une poêle, utiliser une pomme de terre à la place du papier ménager (à tremper dans l’huile) : non… couper (et ne pas savoir quoi en faire ensuite) une pomme de terre, ça ne me va pas. Du coup, à la place du papier ménager, j’utilise un bout de tissus.

Apprendre à faire les pâtes à tarte, à pain, brioche, bouillons de légumes, etc… : je n’ai pas encore franchi le pas, je ne sais pas pourquoi je bloque pour les pâtes… J’ai néanmoins commencé par une sauce hollandaise assez bien réussie !

Utiliser du bicarbonate de soude pour frotter l’intérieur de la cuvette : peu utilisé finalement… du coup, je n’en vois pas (encore) les effets bénéfiques.

Utiliser les collants pour retirer les poils : ça dépend où…
Sur la brosse de l’aspirateur en voulant faire le canapé, totalement inefficace ! Les poils de chats sont en fait imbriqués dans les fibres.
Cependant, j’ai mis mon poing dans un collant et pu ainsi retirer facilement des poils de pulls sur un pantalon.

 

Ce qui a raté, qui est non concluant :

Congeler dans des bouteilles en verre le jus d’orange pressé : le jus d’orange est acheté tout prêt… en pack de 3 litres, ce qui limite néanmoins les déchets.

Remplacer les éponges par des tawashi : j’en ai tricoté quelques uns et essayé pour la vaisselle principalement. Je n’ai pas aimé l’utilisation, peut être par inhabitude. Je pallie par l’achat d’éponges recyclées et l’utilisation de carrés en mousse qui traînaient dans mes réserves…

Coudre des petites serviettes invités (en remplacement des serviettes en papier) : il y en a toujours en stock ! Donc, j’épuise…

Remplacer papier cadeau par du furoshiki : j’ai acheté du papier cadeau pour Noël dernier… Je n’ai pas franchi le pas…

Récupérer les enveloppes pour du brouillon, liste de courses : ayant déjà un stock conséquent de papier brouillon de toute taille, finalement, cela part au recyclage papier.

Supprimer les cotons-tiges : non, j’aime trop me « gratter » le fond de l’oreille… Mais cela ne m’empêche pas de passer un coup de savon et d’eau tiède de temps en temps.

 

Ce qui reste à faire :

Poubelles/Recyclage :
– Lister ce qui est recyclable et organiser le tri => pertinence de mettre les plastiques à la déchetterie plutôt que dans la poubelle ménagère ;
– Lister ce qui est compostable ;
– Faire des échanges de déco de Noël / Utiliser les vieux CD ;
– Faire un sapin avec de la récupération (bouteilles, rouleaux de PQ ou papier ménager, cintres…).

Emballages et publicités :
– Recycler les papiers cadeaux : repasser (programme soie sur l’envers),
– Noter les achats en carte bancaire plutôt que de prendre le ticket.

Récupération :
– Chemises : couper les manches et fermer => sacs pour ranger du linge fragile.

Matériel :
– Remplacer le téflon et le silicone par du verre ou de la terre / poêle en fonte.

Hygiène :

– Faire son dentifrice.

Cuisine :
– Faire son vinaigre.

Ménage :
– Faire un cahier de recettes,
– Essayer la lessive maison pour lave-vaisselle,
– Faire sa lessive liquide.

Autres idées :
– Faire sacs hermétiques pour la piscine et la plongée, les parapluie,
– Faire des sacs à linge hermétiques pour les voyages.

 

 

Certainement qu’au fil du temps des choses changeront encore ou bien viendront s’ajouter, seront abandonnées…

Mais alors, quelle belle aventure !

 

Réduisons nos déchets – 5ème partie : en cuisine

Je ne sais pas si c’est pareil chez vous, mais ici, c’est le poste qui génère finalement le plus de déchets !!!

Enfin, comme dit dans la 2ème partie, les déchets sont triés :
– plastiques et polystyrènes vers la déchetterie,
– petits cartons, bouteilles plastiques, brick de lait, boîtes de conserve, aluminium dans la poubelle jaune,
– épluchures de légumes et fruits, ainsi que les yaourts « passés », les infusions, le marc de café et le filtre sont stockés dans une bassine pour le compost,
– le reste dans la poubelle si ce n’est pas donné aux chats ou au chien.

Il nous manque des poules pour les autres déchets alimentaires.
En effet, il faut savoir que les poules consomment tous nos déchets alimentaires ! Bon, faut pas oublier de leur donner du grain et les laisser gambader pour picorer des verres, mais ça donne des œufs en retour !

Mais le mieux, pour limiter encore plus les déchets est de faire soi-même !
Des gâteaux.
Du pain.
Des bons petits plats.
Qu’il est possible de mettre en conserve ou de congeler.

Faire ses achats au marché plutôt qu’en grande surface, voire, adhérer à une AMAP (http://www.reseau-amap.org/) ou s’adresser directement aux producteurs locaux.

Petite récolte

Il y a quelques semaines, j’avais sorti de terre les échalotes.

A présent bien sèches, je les ai dépiautées :

– 1 tas pour la consommation
– 1 petit tas pour une utilisation rapide (elles sont restées humides)
– 1 troisième tas composé des plus petites qui sont conservées pour les replanter un peu plus tard

(2014_09)_0025

 

L’échalote, avec son petit goût piquant, est systématiquement mise dans mes vinaigrettes maison.

En cuisine, je l’utilise en remplacement de l’ail. Même cuite, elle garde un léger goût piquant et frais.

 

Tarte au potimarron et lardons

Potimarron, lardons et oignons

 

Ingrédients :

  • 1 potimarron (600 g environ)
  • lardons fumés
  • 1 oignon
  • 2 cs de crème fraîche épaisse
  •  2 œufs
  • épices, sel, poivre selon goûts
  • 1 pâte feuilletée
  • fromage râpé

 

Recette :

  1. Préchauffer le four à 200 °C
  2. Mettre la pâte dans un moule à tarte et piquer le fond, parsemer de fromage râpé.
  3. Peler et couper le potimarron en dés grossiers.
    Le faire cuire (20 mn à la cocotte minute) puis le réduire en purée.
  4. Pendant ce temps, débiter l’oignon et le faire revenir avec les lardons.
  5. Dans un saladier, battre les œufs, ajouter la crème fraîche, les épices, sel, poivre.
  6. Mélanger la préparation et la purée de potimarron puis l’oignon et les lardons.
  7. Placer le tout dans le fond de tarte et parsemer de fromage râpé.
  8. Mettre dans le bas du four une trentaine de mn (la pâte doit être cuite).
  9. Sortir la tarte de son moule, retirer éventuellement le papier de cuisson et laisser tiédir sur un plat de service.

Servir tiède avec, pourquoi pas, une salade.

 

Source : Tarte au potimarron et lardons